| Mise en place des absorbeurs. Il n'a pas été nécessaire de fabriquer un
fond sous l'isolation en laine de roche, puisque la toiture possède déjà
un espace de ventilation dessous. Les différentes couches du toit de la
lucarne depuis l'intérieur : 1] Lambris de sapin 2] pare-vapeur 3]
lambourdes et isolation en fibres de cellulose (papier recyclé en flocons)
4] plaques (visibles ici à gauche en stock) de fibres de bois recyclés
(22mm) 5] lambourdes env. 4 cm aération 6] Lames en sapin constituant le
dessus du toit 7] film (visible ici en vert) d'étanchéité (perméable à la
diffusion de vapeur), et là dessus, soit la couverture en cuivre ou notre
isolation et les absorbeurs, l'air et le verre ! (9 juillet 2003)
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| Brasure du doigt de gant en sortie de champ (pour TKO, terme allemand
Temperatur Kollektor Oben).
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| Détail du doigt de gant.
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| Brasures en sortie de champ avec la prise de purge. La pièce intermédiaire
DN15 - DN6 fut réalisée en perçant une chute de cuivre de 15 mm.
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| Bientôt terminé.
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| Et voilà, reste encore la ferblanterie. Quant à cet ami en visite, il est
jaloux des capteurs . pour la vue qu'ils ont !
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| Passage de la conduite du haut du champ dans la joue de la lucarne, encore
seulement partiellement isolée. Cet espace sera ensuite encore rempli de
fibres de cellulose. On voit aussi la conduite 6mm de purge et la gaine
contenant le câble de TKO.
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| Passage des 2 conduites au bas de la joue de la lucarne (à la cintreuse)..
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| Et arrivant ici, au haut de la façade.
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| L'isolation des conduites en façades sera faite en "vétroflex". Ils leur
reste encore à descendre le lond du mur, puis à entrer dans la cave...
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| Ce qui est fait ici ! Le mur, constitué de pierres en granit (45 cm) fut
percé à l'aide de la perforatrice prêtée par le centre régional. L'une des
2 gaines est une réserve.
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| Détail du passage.
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| Entrée en cave. Parfois on a du bol : une pierre a pu être délogée,
racourcissant le perçage !
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| Découpe en U dans les panneaux d'isolation de la façade pour laisser le
passage des conduites (isolées quand-même en coquilles "vétroflex" pour ne
pas brûler l'isolation).
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| Le bordel . L'isolation périphérique a donné plus de travail que tout le
reste, mais maintenant, la différence est comme de mettre une doudoune sur
un T-shirt !
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| Passage au bas du mur une fois l'isolation terminée. Il manque encore le
crépis et un caisson alu pour fermer et protèger les conduites.
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| Détail de la découpe.
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| Test d'étanchéité qui restera en place jusqu'à la fin des travaux de
toiture (ferblanterie compris) et de façades.
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| Un peu de "défrichage" et peinture, puis dépose du boillon 500L inox en
cave. Reste à le placer judicieusement, ce qui n'est pas encore fait ici.
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| Entre temps la ferblanterie arrive. Détail du bas.
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| Détail du bas d'un profilé alu.
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| Le champ avec la ferblanterie. Le ferblantier a fait du "massif" (en haut
de champ spécialement), ce qui diminue un peu la surface utile des
absorbeurs. Quand l'étanchéité rivalise avec simplicité et efficacité .et
ce malgré une discution préalable ! Il est vrai que le toit de la lucarne
est incliné de seulement 15 degrés, d'où cette précaution du ferblantier
(voir commentaires de Pascal concernant les ferblantiers ... :).
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| Détail du haut de champ
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| Et encore. là on se rend mieux compte de l'ombrage inutile créé par le
cuivre.
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| Le haut du champ au milieu, entaille du cuivre.
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| On redescend à la cave ! 1er essai et nettoyage, ça chauffe terrible !! On
se réjouit de connecter tout ça afin de pouvoir couper le mazout, mais une
journée n'a que 24 h...
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| Le boillon est à la bonne (meilleure ?) place, ainsi que le gr.
Hydraulique et la régulation. (mi-octobre 2003)
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| Et voilà un mois plus tard, la connexion du circuit solaire est quasi
terminée.
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| Le vase d'expansion en haut dans un coin où il ne dérange pas.
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| On va pouvoir s'attaquer à la partie suivante : la connection à l'ancien
chauffe-eau (chaudière mazout combinée avec un boillon de 125 L inox), ici
encore intouché par le solaire. N:B: pas de thermosiphons.
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| Ce qui commence ici, sur l'établi et avec un mètre .
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| Et là, on essaie (c'est seulement présenté, et pas connecté).
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| Là ça devient sérieux . On déconnecte l'ancien pour mettre en place le
mariage solaire - mazout (sic .). On espère que cela fonctionnera ce
soir, sinon on se douchera à l'eau froide !
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| Et voilà, terminé ou presque . reste à mettre sous pression après avoir
profité de nettoyer cet ancien boillon (7 mars 2004).
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| Le boillon (125 L inox !) de l'ancienne chaudière combinée (mazout), avant
détartrage.
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| Détail avant détartrage. Le tartre, ça coupe !! Ne pas oublier les gants
.. Un mini-karcher et un aspirateur pouvant aspirer du liquide furent
utilisé en alternance ici avec passablement de succès.
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| Après détartrage.
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| Groupe hydraulique et partie de boillon solaire isolé, durant la première
période après la mise en service. La température grimpe chaque jour un peu
plus. Il manque encore l'isolation des conduites solaires. Le 2 ème tube
semi-isolé en haut à g. constitue une partie du circuit de brassage. Le
tuyau vert en bas à g.allant au bac de récolte (sécurité surpression) va
être remplacé par du cuivre sinon il risque de fondre en cas de
surpression.
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| Vue de l'autre côté du boillon solaire. En bas, on voit la conduite d'eau
froide et la purge du boillon (mettre un bouchon serré et enlever la
poignée si vous avez des enfants curieux..) A gauche de celui-ci, la
conduite de brassage avec sa pompe.
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| Un peu plus loin, côté ancienne chaudière. Un peu difficile de s'y
retrouver ? !!! A droite, la conduite isolée est celle provenant du haut
(chaud) du boillon solaire, et entrant ici au bas (après avoir passé par
le siphon) du boillon 125 L fossile. Les 2 boillons sont donc en série :
en hiver, l'eau préchauffée à 30 - 40 degrés par le solaire entre dans le
boillon fossile et le mazout fait le reste, entre-saisons et en été, les 2
boillons ont env. la même température soit par l'utilisation ou sinon par
le brassage forcé (pompe de brassage). Si la température du 125 L fossile
est inférieure (ici règlé à 10 deg) à celle du boillon 500 L solaire,
alors le brassage démarre et équilibre les températures.
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| Idem avant isolation, avec quelques explications.
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| Etat des capteurs lors de la PV de mise en service le 11 mars 2004. Il
avait neigé la nuit ! Photo prise par Pascal Cretton.
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| Les capteurs ce printemps (21 avril 2004), ceci vers 18h30. C'est la
limite pour cette orientation Est- Sud-Est.
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| Où sont les capteurs ? Sur le toit de la lucarne ! On a en fait profité
de la surface (on l'a même adaptée en largeur pour pouvoir placer un champ
de 2 x 2 absorbeurs) de celle-ci qui devait de toute façon être recouverte
de cuivre. La photo est prise depuis la Rte de Savuit au Nord de la
maison. Les premières fleurs aux fenêtres, qui profitent aussi du soleil
(même ici au N-NE !), sont l'oeuvre de Lourdes !
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| Encore !! On l'a déjà vu celui-là ! Image à double à supprimer.
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| Image BOF à supprimer.
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| Image BOF à supprimer. Pompe de brassage. En fait la partie du bas n'est
pas isolée. Seulement la partie horizontale du haut est isolée.
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| Image à double à supprimer.
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| Les 4 absorbeurs avant la pose des verres. Lambourdes peintes en noir,
mais attention au type de peinture. Elle ne doit pas dégazer jusqu'à 200
degrés.
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