| Commentaire centre régional et images autoconstructeur. Ca commence par la fabrication des ancrages, au calme, dans le jardin 5 |
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| Commentaire centre régional et images autoconstructeur. Ici quelque chose de tout à fait non-standard en matière de placement de capteurs, qu'on a vu à Sebasol qu'en France ou en Autriche : placés vers le sud sur un toit E/O de faible pente. Soit sans les problèmes d'orientation inadéquate pour l'appoint chauffage, de surproduction estivale peu utile, et de neige qui reste dessus. Et donc avec une diminution drastique de la surface à placer par rapport à les mettre dans le pan du toit.
Reste la question esthétique, mais le projet a passé la mise à l'enquête. Quand on pense que des communes sont peignets au point de ne pas permettre plus de 8m2 de capteur intégrés dans la toiture(sauf pour le photovoltaïque, tout est permis au photovoltaïque) ou bien intégrés dans le terrain sur un support avec de magnifiques ferblanteries... Il y a vraiment des attitudes incroyables de différence d'une commune à l'autre. 50 |
| Commentaire centre régional et images autoconstructeur. Vu de l'arrière. 55 |
| Commentaire centre régional et images autoconstructeur. Champ solaire du bas en cours de réalisation 60 |
| Commentaire centre régional et images autoconstructeur. Dito 65 |
| Commentaire centre régional et images autoconstructeur. Et une fois les verres mis 65 |
| Commentaire centre régional et images autoconstructeur. Image champ du bas 70 |
| Commentaire centre régional et images autoconstructeur. Détail champ du bas 75 |
| Commentaire centre régional et images autoconstructeur. Détail champ du bas 80 |
| Commentaire centre régional et images autoconstructeur. Et à présent on passe au champ du haut. Image du champ de gauche. 85 |
| Commentaire centre régional et images autoconstructeur. Idem champ de droite. 90 |
| Commentaire centre régional et images autoconstructeur. Idem les deux 95 |
| Commentaire centre régional et images autoconstructeur. Image du doigt de gant et de la sonde, sous l'absorbeur. Les deux champs (du bas et du haut) sont en série, ce qui permet de ne mettre qu'une seule sonde, sur le champ du haut, pour régler toute l'installation. Cela nécessite une hydraulique particulière, qui a été conçues par l'autoconstructeur lui-même suite aux formations, et supervisée par Sebasol. Une telle hydraulique est sous les absorbeurs dans les champs solaires eux-mêmes. Cela ne serait pas possible à faire avec des capteurs industriels fermés, et de ce fait avec de tels capteurs, une telle installation ne serait pas possible ou bien nécessiterait un délire de tuyaux apparents sur la façade et la toiture. A condition aussi que l'installateur de produits industriels soit capable de penser l'hydraulique. Ce qui ne sera pas le cas de 95% d'entre-eux.
Oui ce que l'on est en train de dire c'est que l'autoconstruction Sebasol dépasse ici ce que le marché serait capable de faire. Ce qui n'est pas étonnant : réfléchir prend du temps, le temps c'est de l'argent, l'argent doit être gagné tout de suite de plus en plus vite, ce qui pousse aux solutions de plus en plus standardisées, qui sont donc de plus en plus non adaptées à la vie réelle, et donc de plus en plus, incompétentes, stupides et nuisibles. Nous venons de définir 'l'excellence' en 2019. 100 |
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| Image centre régional ; installation labellisée Solar Keymark via l'étiquette officielle - ici collée sur l'accumulateur - donc donnant droit aux subventions.
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| Zoom sur l'étiquette. Chacune est propre à l'installation, au contraire des étiquettes qu'on trouve sur les capteur du commerce. Et cette étiquette n'a aucune validité pour les services de l'énergie sans le PV de réception, qui doit être fait de manière indépendante par Sebasol. Cela empêche quiconque de se servir de l'étiquette pour dire qu'il fait du Sebasol. C'est une précaution élémentaire quand on sait le coût final des installations Sebasol, que ce soit en autoconstruction ou en clef-en-main, et les subventions qu'elles reçoivent :-) 575 |
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