| 2021. Notre premier absorbeur dans son emballage papier 5 |
| 2021. L’arrivée des lignes en fouille sur le toit du garage, avec la mise en place des dalles qui porteront le support de champ 10 |
| 2021. Fixations vissées dans la dalle pour les tubes de support de champ et le méplat de contreventement 15 |
| 2021. Les poutres sont fixées sur les tubes 20 |
| 2021. OSB en place, ainsi qu’un début de lestage en granit recyclé et le contreventement avant-arrière 25 |
| 2021. Fixation des contreventements latéral en méplat et avant-arrière en tube 30 |
| 2021. Mise en place de la laine de roche, lignes de distribution, trappe pour accéder à la sonde, et autour les absorbeurs dans leur emballage 35 |
| 2021. Liaisons entre les absorbeurs dans les encoches 40 |
| 2021. Premier verre posé ! 45 |
| 2021. Pose de la ferblanterie 50 |
| 2021. Le champ de capteurs terminé, pente de 60° et orientation idéale au sud – légèrement sud-ouest (cela améliore un petit peu la production globale, du fait que l'air est plus chaud en fin de journée, le capteur perd donc moins vers l'environnement). 55 |
| 2021. Début de l’isolation du Jenni, 1410 L, hauteur 3 mètres, diamètre 80 cm. 60 |
| 2021. Merci à Xavier, super apprenti, pour son aide notamment dans les passages aériens quelque peu étroits ! 65 |
| 2021. L’arrivée des lignes en fouille dans une fosse du local technique 70 |
| 2021. Groupe hydraulique, soupape de sécurité du circuit solaire avec sortie pour connecter le bidon, ligne du VE solaire avec son thermosiphon 75 |
| 2021. La partie basse du Jenni avec sur l’arrière le thermosiphon qui mène à son VE et le mano. Devant, la sortie de l’échangeur du haut qui conduit à la vanne 3 voies, l’entrée ECS au bas du champignon, les entrée et sortie de l’échangeur du bas et la vanne 3 voies. Les tuyaux rouges sont ceux du poêle hydraulique à granulés, pas encore connectés sur le Jenni. 80 |
| 2021. La partie haute du Jenni avec son groupe sécurité, le mitigeur, l’entrée de l’échangeur du haut, la résistance électrique pour assurer le hors-gel de la maison en cas d’absence de soleil et d’impossibilité de faire du feu, et les connexions destinées au poêle et au chauffage 85 |
| 2021. VE du Jenni à gauche, du circuit solaire à droite 90 |
| 2021. Le câblage de la Sora 95 |
| 2021. Le montage final avec l’isolation en place. Les tubes isolés en plastique gris sont ceux du chauffage (installation faite par le chauffagiste) et de l’ECS, les tubes isolés en alu sont ceux du circuit solaire. A droite au premier plan, la pompe à eau de pluie de la maison 100 |
| 2022. Une vue du champ terminé. Le canplast qui protège les lignes a été depuis 'caché' dans un caisson qui le met à l'abri des UVs. Sinon on aurait eu après quelques années cela cf image suivante 105 |
| 2022. Vue générale. On voit que la forte pente des capteurs thermique, outre le fait que le ST chauffe et fait donc fondre la neige plus facilement, empêche son accumulation, au contraire des panneaux photovoltaïques sur le toit, handicapés et par le fait qu'ils ne chauffent pas, et par leur faible pente. Des panneaux qu'on voit encore imparfaitement dégagé au moment de la photo, avec la neige à droite qui coupe au moins la production d'une série de panneaux. A moins d'un micro-onduleur pour chaque panneau, ce qui pose des problèmes d'entretien à long terme, à mesure qu'ils 'pêtent' non pas tous en même temps, mais selon une distribution de poisson autour de leur espérance de vie moyenne (de l'ordre de 10 ans pour un onduleur). 110 |
| 2022. Une autre vue du champ solaire thermique 115 |
| 2022. Et une autre vue générale. 120 |