| Vue d'un côté. Le champ solaire est de l'autre. 10 |
| Tout en haut, sortie ECS chaud, avec siphon. On remarque une vanne oblique qui permet de fermer le circuit. Au milieu : charge chaudière En bas : entrée solaire, avec siphon et purge 70 |
| A peine visible (en noir) sortie solaire. Bien visible : entrée ECS avec vis de rappel isolée contre les courants vagabonds. Sur le mur, on remarque l'ordonnancement qui a pour but d'alimenter les boilers en tichelmann, que ce soit pour l'ECS ou le solaire. La vanne oblique permet d'isoler le boiler de l'autre boiler, pour entretien ou autre.
Propre, non ? 80 |
| Arrivée du solaire (gauche) et retour. La distribution solaire est aussi tichelmannisée, vu qu'il y a deux chauffe-eau de prévus. 90 |
| Régul Sora W. Pas de compteur de chaleur car ce n'est pas obligatoire sur Neuchâtel. La sortie soupape est partiellement en cuivre, ensuite il y a un tube plastique, censé résister à la haute température. Aux risques et périls de l'installateur. 100 |
| On prends du champ. La distribution du second chauffe-eau est en attente. Ce chauffe-eau était installé lors de notre inspection, mais les photos manquent alors on prends une ancienne. C'est d'ailleurs intéressant de voir comment les installateurs travaillent. Les chauffe-eau avaient de la peine à venir et Eric Racheter est un installateur méticuleux. On peut le voir rien que de la manière dont ces entrées et sorties sont préparées. 110 |
| Descente des lignes le long de la façade, protégées par un caisson en cuivre. Ce genre d'article est de manière générale ignoré dans les devis habituels. Ils font partie de la liste des douloureuses choses que les clients qui ne savent pas lire un devis solaire et qui confondent le prix du kit avec le prix de l'installation doivent assumer par la suite...
Dans le cas d'un installateur Sebasol comme M. Racheter, le cahier des charges www.sebasol.info/public/cahier.pdf indique ce qui fait partie du standard et ce qui n'en fait pas partie. Le caisson fait partie des travaux additionnels indiqués comme tels dans ce cahier des charges. L'installateur le propose et le client peut décider de retirer cela du devis. Il peut alors le faire lui-même, comme le font beaucoup d'autoconstructeurs, mais 2 choses sont sûre : 1) sans caisson les lignes vont se détériorer. C'est donc une économie très mauvaise à faire. 2) le caisson ne se fera pas tout seul... 120 |
| Vue contre-plongeante 130 |
| On passe au galetas. Purge descendue depuis le toit pour pouvoir purger sans danger. C'est haut, un locatif... 140 |
| Lignes apparentes. 150 |
| Vase d'expansion, avec un long tube aller-retour non isolée, comme il se doit. Faute de l'installateur : le coude est en galva. Or il ne faut pas de galva dans un circuit solaire, car le zinc démolit le glycol.
On remarque aussi que la distribution est double. Il pourrait s'agir de deux capteurs en visa à vis mais en fait, le champ de 3x4 est parallélisé interne, de manière très semblable à celui de l'immeuble Patinage 17-19 (Eric Racheter n'aime pas les pertes de charge). Ici ce sont les deux séries de 2 de la gauche du champ qui sont distribuées, d'où les deux départs. A droite, hors de la photo, 4 autres séries de 2 sont distribuées, d'où 4 départs. 160 |
| Vue du champ. Il s'agit d'une ferblanterie de montagne. Pas de couloir à la ferblanterie de derrière. L'eau coule directement sur les vitres. 170 |
| Détail 180 |
| Détail 190 |
| Vue du champ complet. La parallélisation est en 3 x (2 x 2). Les deux premiers capteurs du bas sont en série, ainsi que les deux suivants du haut. Les lignes qui vont distribuer ceux du haut passent sous les 2 du bas, et les lignes qui sortent des 2 du bas passent sous les 2 du haut pour rejoindre les lignes d'en haut. C'est pour cela qu'il y a 6 distributions en bas. 200 |