| Commentaire Sebasol 05.08 : vue depuis la rue, l'installation est anodine. 5 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : de plus près, un 1x4 classique 10 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : Christian Zufferey devant son oeuvre. Les conditions de lumière de fin de journée sont responsable du flou du au fait qu'il a fallu retourcher la luminosité et le contraste de l'image. 15 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : dito pour la qualité de la photo. L'emballage de cuivre n'est pas absolument nécessaire. Des tablettes auraient pu suffire et le fond du champ laissé à l'air. C'est ce que nous faisons habituellement pour les champs solaires sur support sur toits plats utilisés pour le préchauffage en locatif. Mais il est clair que du point de vue esthétique, c'est plus propre. 20 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : dito pour la qualité de la photo. Détail du raccord au sol 25 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : dito pour la qualité de la photo. Fond du champ, le profil sort de la ferblanterie. 35 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : à partir de ce moment on travaille au flash. Vue du profil de fond de champ. 40 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : dito pour le flash (il faisait de plus en plus sombre). Départ des lignes vers la maison. Les lignes passent à l'intérieur des capteurs, entre les absorbeurs et l'isolation. L'isolation Armaflex n'est pas encore protégée des UVs et des fouines. Peut-être le sera-t-elle à l'occasion des visites pour les journées du soleil 08. 43 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : dito. On voit que le câble traine encore. A nouveau, cela fait partie des finitions et protections à rajouter. Les fouines adorent ces cables... 45 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : toujour au flash, une vue par dessus des capteurs. 50 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : descente des capteurs dans le terrain, où M. Zufferey a fait une fouille qu'on verra un peu mieux à la photo suivante. Les tubes utilisés pour la fouille sont autodrainants, ce qui explique qu'on ne voit pas sortir les habituels canplast orange ici. Il est important que de l'eau ne puisse s'introduire/stagner dans une fouille qui contient des lignes solaires car même avec une isolation hydrofuge (absolument nécessaire) comme de l'aeroflex ou de l'armaflex HT, l'eau va pourrir cette isolation à la longue et le gel, s'il ne peut affecter le circuit solaire qui est en eau-glycol, va dégrader les isolations aussi. Il y a alors deux solutions : soit des canalisations autodrainantes sur un lit de gravier, soit des canalisations étanches qui se relèvent à chaque bout. 70 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : vue de la sorte de la fouille vers la cave de l'autre côté du mur. On peut voir le gravier qui recouvre la fouille. 75 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : introduction dans le mur. Il y a un double point haut à cet endroit, mais les purges sont de l'autre côté. 80 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : dans la cave, nous y voilà, mais du côté de l'installation sanitaire. Cette dernière est constituée de deux chauffe-eau de 200L que M. Zufferey a tenu à conserver. Le premier, rouge, possède un serpentin sur lequel on a pu brancher le circuit solaire. Le second, blanc, est un simple chauffe-eau électrique de 200L avec le corps de chauffe en bas, inutilisable pour le solaire. Le premier est transformé en un stock de préchauffage et le second, de postchauffage. Evidemment, comme le volume de préchauffage est à ce point riquiqui qu'il en devient insuffisant pour assurer l'autonomie d'été, il a fallu prendre des mesures pour accroître le volume utile de stock. C'est la fonction de la pompe de brassage que l'on voit au centre (M. Zufferey préfère un autre terme, il vous expliquera pourquoi). Cette pompe relie les deux volumes et permet de transférer l'eau chaude sanitaire plus froide du chauffe-eau blanc de postchauffage dans le chauffe-eau rouge de préchauffage si ce dernier est plus chaud grâce au solaire. De cette manière on a qu'un seul volume et la température du chauffe-eau de postchauffage est élevée jusqu'au maximum, ce qui flingue définitivement le corps de chauffe électrique. Oui, les promoteurs de Goesgen ne sont pas contents, au contraire du portemonnaie de M. Zufferey. 100 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : vu des alimentations du chauffe-eau de préchauffage. les isolations en coquille vetroflex ne sont pas complètes et elles ne sont pas maintenues avec des ligarex. On voit donc (ce qui a déjà été montré des disaines de fois sur ce site mais n'est jamais inutile à remontrer, tellement on se plait à ignorer ce qui est évident) que la languette de collage de ces coquille ne tient pas en l'absence de ligarex pour les maintenir. C'est du à la poussière, aux conditions de chaleur et d'humidité qu'il y a toujours dans les caves. Les colles sont des moyens biologiques qui par définition se dégradent (à la chaleur, aux UVs, à l'humidité, à la sécheresse, au veillissement etc.). Il n'y a que dans la pub et dans les rêves des naïfs du brico qu'on s'imagine qu'on peut faire tenir quoi que ce soit durablement avec une colle. 105 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : alimentation du chauffe-eau de préchauffage. On voit un corps de chauffe électrique, mais ce dernier a été neutralisé. Le corps de chauffe électrique au même niveau que le serpentin solaire est la marque par excellent du chauffe-eau "solaire" bidon. En l'occurence, au vu de son faible volume, ce chauffe-eau n'a jamais eu la prétention d'être solaire, mais plutôt mazout OU électrique. Mais des margoulins fourgent sans complexe en 2008 encore des chauffe-eau de 400 ou 500L "solaires" ou l'appoint électrique est au-même niveau que le serpentin solaire et en bas du chauffe-eau. 110 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : vue de la pompe de brassage. La mise en place d'un clapet a nécessité le rajout d'une soupape de sécurité. 115 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : chauffe-eau de postchauffage, avec son siphon et le mitigeur thermostatique. 120 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : vue plus rapproché du siphon et du mitigeur 125 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : le mitigeur est doté de vannes d'isolation qui permettent de le changer facilement. Pour éviter l'entartrage, ces vannes sont manipulées 1x par année. 130 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : les deux tuyaux verticaux derrière sont l'arrivée du solaire dans le serpentin. Rien n'est encore isolé au moment où la photo a été faite. Ce le sera probablement à l'occasion des journées du soleil 2008. 140 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : vue globale du groupe hydraulique solaire, qui est dans un autre coind de la cave. On remarque l'arrivée à travers le mur des lignes solaires issues de l'extérieur, et deux purges qui aident en ce point haut et dont il a été parlé il y a quelques photos auparavant. Une fois passées par le groupe, les lignes remontent à gauche et elles vont au plafond d'où elle redescendront vers le chauffe-eau rouge de préchauffage cf. photo précédente. Tout cela est rendu nécessaire par l'exiguité et la conformation existante de la cave. 160 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : et évidemment, ici aussi, tout cela doit encore être isolé. En dessous de la pompe on peut voir le départ vers le vase d'expansion... 165 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : ... qu'on retrouve ici, planqué derrière la machine à laver. 170 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : à présent, une vue de la régulation Steca. 200 |
| Commentaire Sebasol 05.08 : les régulations Steca sont plus chères que pas mal d'autres. Elles sont appréciées des autoconstructeurs car ce sont de véritables "rolls" qui permettent une prise des mesure presqu'aussi performance qu'un banc de mesure professionnel (seule la prise de données en continu à partir d'un PC demande de se creuser encore un peu). En l'occurence, elles gardent en mémoire les 2 dernières semaines de mesure. Il fallait pas moins que ça pour brancher un technicien de l'EPFL... et on retrouve ici le principe mainte fois confirmé que plus l'instalallation est petite, plus elle est suivie par des passionnés qui veulent comprendre jusqu'au dernier watt qu'elle produit. A côté de cela, il y a des dinosaures privés et publics qui ne savent même pas combien ils consomment et perdent des kilos de produits dans la nature (par exemple, au Japon, à chaque fois qu'ils recomptent leur plutonium, ils arrivent à un autre total ; ergo, suicidez-vous plutôt que de leur faire confiance, vous souffrirez moins, tel est notre conseil).
Cette image montre la température du capteur. On peut y voir un "trou" de température vers 13h. Ce trou correspond à un sapin situé plein sud et qui bouche le soleil en hiver à ce moment. On peut voir que l'effet est réel, mais qu'il ne détruit de loin pas toutes la production de la journée, et ceci même en hiver. En été, le jour est encore plus long et le soleil passe par-dessus le sapin. 205 |