| Représentation 3D de l'intégration en toiture de l'installation
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| 12.7.08 : Réalisation des absorbeurs à Lausanne dans les locaux de Sebasol. (ici Cédric et Patrick au brasage)
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| Tout l'équipe venu nous aider à réaliser les absorbeurs (de gauche à droite Michael, Gilles, Patrick et Sylvain)
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| Emplacement dévolu à recevoir le champ solaire de 12m2
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| Au préalable les carrelets longitudinaux ont été soigneusement mis ensemble afin de réaliser les entailles de liaison entre les capteurs et l'entaille pour le profilé alu
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| Et voilà le résultat, en un coup et cela très rapidement et proprement. Mon oubli, et j'espère ainsi aider d'autres auto-constructeurs : - Sur un des carrelet (celui qui viendra en bas) réaliser un chanfrein à 45° sur 25-30mm sur toute la longueur. Pourquoi ? Afin de pouvoir y fixer la liste inox de fond de champ modèle A. Je ne l'avais pas fait et j'ai du le faire sur le toit au rabot et ciseau à bois... J'ai transpiré !
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| Réalisation du caisson au sol en prenant soin de fixer deux lattes qui corrigent le "vrillement" des carrelets et garantir ainsi les 75cm de hauteur pour les absorbeurs, avant de fixer les panneaux de pavarex. (Astuce, utiliser le cordlex pour repérer les carrelet et ainsi avoir toutes vis qui tirent dans un carrelet ;-) )
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| Le caisson est prêt : Notez que les deux lattes sont toujours là pour rigidifier le tout). On profite de la grue, ici avec Yves et Yves-André pour transporter ce dernier sur le toit
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| Arrivée du caisson... Il y avait un peu de vent ce jour là et ça balançait pas mal... Normal avec 12m2 de surface, ça fait une belle prise au vent !
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| Le caisson a été placé au plus bas du toit (afin que la neige puisse glisser directement en bas et ne pas s'accumuler sur les tuiles qui seraient dessous). Astuce, pour positionner le caisson correctement, et ne pas avoir à le manipuler à bras pour le positionner, nous avions posé 3 petites cales de 13cm contre la planche de rive. Yves-André mon "pilote" de grue n'a eu qu'à me déposer le caisson sur les cales et il était directement en place et prêt à être visser dans les carrelets de la toiture (en prenant garde de ne pas prendre de trop longues vis qui risqueraient de percer la sous-toitures).
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| Le caisson est isolé. Il faut utiliser l'isolation tout-venant et ne pas débiter chaque fois une plaque car on peut dire que "le compte est bon"
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| Fixation des profils alu, avec petit chanfrein pour la tête de vis
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| Et voilà l'travail
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| Je profite aussi de la grue pour transporter les absorbeurs et les verres sur le toit. Le convoi est prêt.
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| Yves-André m'amène les verres sur toit... Quel moment de stress..., mais c'est un chef, rien n'a bougé.
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| Soudage des absorbeurs les uns à la suite des autres. Après quelques minutes aux soleil, ces derniers sont tellement bouillants, que je dois les masquer avec une couverture pour pouvoir les toucher.
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| L'alimentation du champ
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| Mise en place de la sonde. ATTENTION : sur la photo ce n'est pas la bonne sonde. Il faut la sonde avec le câble silicone résistant à la haute température qu'il peut y avoir dans les capteurs. Cette sonde est toujours d'une couleur différente des autres. Elle e a été changée par la suite.
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| Le soir, Tripack (tout endimanché pour l'occasion) n'hésite pas à faire un petit détour pour venir me donner un coup de main pour poser les verres. Ici pose du joint E sous les crochets
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| 20h! le panneau est terminé et fermé.
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| Le lendemain, tirage des lignes. Dans mon cas, passage au faîte pour les deux lignes qui utiliseront le puits de lumière entre les deux maisons pour rejoindre le sous-sol. On a pris soin de mesurer et photographier. les endroits des soudures... On est jamais trop prudent !
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| Passage dans la sous-toiture. Les charpentiers ont réalisé l'étanchéité par la suite autour des lignes.
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| Sortie des champs, ligne chaude. (Bien que dans mon 2x4, le chemin parcouru en plus par l'eau dans le capteur alimenté en second soit insignifiant, J'ai fais le raccord ainsi pour que le récolleteur déserve d'abord la ligné des a bsorbeur qui avait reçu l'eau en 2e). Mais bref tout semble pas nécessaire.
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| Tant qu'on y est j'y ai glissé un simalen, si un jour un petit coin de photovoltaïque devait prendre place au côté de mon panneau thermique
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| Ici le raccord de la sonde à la rallonge, soudé, cela évitera que ça s'oxyde
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| Les profils A et B du bas de champ, le B qui s'emboîte dans le A es ensuite visser avec des vis inox de ferblantier.
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| Le champ fait 2014 mm, les profils A et B font eu 2000mmm :-(. Du coup j'ai terminer pas une bonne "lêché" de silicon.
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| Ici les deux purges du faîte avec leur ferblanterie.
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| Et voilà le travail, tout bien emballé dans sa ferblanterie Zinc-Titane.
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| Autre vue
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| Livraison du Jenni de 970l. On reprofite de la grue (pourquoi se priver ?). C'est drôlement bien fait ces Jenni, y a même un point d'attache pour les transporter !
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| LE Jenni à 20 mètres du sol en voyage vers le garage.
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| 300kg... nous n'étions pas trop de trois pour le déplacer. Ici Gilles et Michael sont à nouveau dans la gonffle.
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| Emballage du Jenni avec l'isolation (120mm + une couche de 60mm pour le zèle) Le tout est consolidé avec un grillage. (De mon expérience, ne prenez pas un grillage aussi fin, ce n'était pas très pratique à couper et relier). Merci à Gaetan pour son aide ce samedi là.
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| Nous l'avons ensuite emballé dans une bâche Migros, tendue et collée derrière contre le mur.
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| Après le passage d'André (apprenti Sebasol), je savais mieux ou mettre quoi et comment, donc là... J'ai l'sourire lors de la réalisation des brasures. Une plaque de fermacel me permettait de protéger la "robe" de mon Jenni.
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| El voilà le travail, tout est connecté, mais pas isolé et la régul. n'est pas encore en place.
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| La mise sous pression de l'installation m'a vraiment fait choper des cheveux gris... J'avais des fuites. Après avoir localisé rapidement la fuite ci-contre et les habituels fuites autour des purges automatiques (que j'ai fillassé finalement). J'ai donc fini par penser que c'était sur le toit. Car comme un con (y pas d'autre mot), j'ai laissé le ferblantier tout fermer avant d'avoir pu tester l'étanchéité. Ce dernier partait en vacances et je ne voulais pas mes absorbeurs se retrouvent deux semaines sous une bâche qui fondait sous le soleil de plomb de juillet. Bref, comme je ne trouvais pas d'autre fuite que celle ci-contre, j'ai fini par être persuadé que c'était sur le toit... Et la je déprimais à l'idée d'aller meuler la ferblanterie et de voir le faire revenir pour réparer...
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| ... Après un téléphone avec Pascal et David ces derniers me recommandent de charger le circuit avec ~1.7 bar, d'isoler les champ (en fermant les deux vannes du groupes) et là après 3 jours tjs 1.7 bars: Yes ! Merci les gars. En faite selon eux il est peu probable que de brasures fuient. Bref je r'ouvre le deux vannes du groupe et là... chute pression après qques jours... Snif... Pas moins d'une bouteille et demi de Controlite y est passé pour finir par en déduire que cette sal*** de fuite ne pouvait être câchée derrière l'isolation, j'ai donc fini par découper et ouvrir mon "emballage" autour des intro et départs solaire pour contrôler.
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| Bingo et là c'est sûr Murfy devait être dans le coup (c'est pas Pascal qui me contredira). Elle se trouvait bien là... Et vous devinerez-pas quoi ?... C'était ma première filasse ! Donc comme recommandation, on ne répétera jamais assez que ces fillasse doivent être faites avec soin et avec suffisamment de fillasse. Depuis l'install a été mise en service le 1er novembre 2008 et fonctionne bien, ... qques photos encore suivront...
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