| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Avant. Le canton accepte les capteurs sous condition de les mettre sur la partie basse de la maison! Heureusement, on a pu changer les conditions. 5 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. On commence le cadre après un jour de montées et descentes pour enlever les tuiles. 10 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR.Construction du cadre. 15 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR.Dito 20 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR.Finitions du cadre avant de mettre les absorbeurs. 25 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR.Les absorbeurs sont prêts pour être montés. 30 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Les absorbeurs (ainsi que les verres) seront montés entre le mur et les echafaudages. 40 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Une grande partie des absorbeurs sont en place. 45 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Autre vue des absorbeurs en place 50 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Dito 55 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Preparation avant de mettre les verres 60 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Dito 65 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Dito 70 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Dito 75 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Nettoyage COMMENTAIRE CENTRE REGIONAL. Probable nettoyage avant de mettre le joint silicone et les crochets. la ferblanteries est inhabituelle à cet endroit, dans le sens que la languette de cuivre que l'on voit n'est en général pas faite par le ferblantier. En absence des listes A et B (cf. plus loin), les autoconstructeur posent le joint silicone directement sur le bois, puis mettent les verres et le ferblantier ensuit épouse le chanfrein pour créer la goutte tombante. Il est possible que le ferblantier ait reproduit avec du cuivre les listes A et B que nous avons développées depuis environs 2 ans, et qui permettent de découpler le travail de l'autoconstructeur de celui du ferblantier, ce qui était moins facile auparavant. Un détail important figure aussi sur cette image : on voit la descente directe à 90° des lignes de distribution des absorbeurs sitôt sorties des lambourdes, ce qui permet de mettre la ligne de récolte très bas contre la sous-toiture. Cela va faire en sortes qu'une fois isolée, elle sera en-dessous du niveau du fond du chanfrein, ce qui fera que le ferblantier n'aura pas de peine à passer par dessus avec la ferblanterie de devant. L'erreur classique de beaucoup d'autoconstructeur et d'apprentis jusqu'au niveau apprenti+ aussi d'ailleur, est de ne pas descendre suffisamment ces lignes, quand bien même c'est martelé dans la documentation technique. Le résultat en est habituellement que la ferblanterie de devant doit REMONTER pour passer sur la ligne, ce qui crèe souvent une contre-pente et donc une retenue d'eau en cas de pluie, avec pour résultat que toute l'eau ramassées par les verres dessus, rentre dans les capteurs et va dans la sous-toiture. C'est alors absolument catastrophal et montre que les acteurs n'ont pas compris le début de la base de à quoi doit servir une ferblanterie. Evidemment, c'est encore pire si la ferblanterie de derrière est de type montagne, vu qu'à ce moment, ce n'est pas rien que l'eau récolté par les verres qui passe dans la sous-toiture, mais en plus toute l'eau récoltée par les tuiles au-dessus du champ solaire. Dans ces conditions, habituellement, le ferblantier gueule suffisamment pour faire corriger, mais ce n'est pas toujours le cas. Et dans ces conditions, au moment du PV de mise en service, nous n'attribuons pas le PV. 80 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. On met le silicone pour étanchéifier au lieu de fixation des profils. COMMENTAIRE CENTRE REGIONAL. Il s'agit de mettre un point de silicone à l'endroit ou le profil est perforé, pour étanchéifier autour de la vis de fixation une fois celle-ci en place. C'est une sécurité de plus qui ne mange pas de pain, qui n'est pas spécifiquement demandé dans la documentation technique, mais qui est préférable. En tout cas ici, c'est fait. Il y a un grand avantage à être autoconstructeur : tout échec est VOTRE échec. Vous ne pouvez reporter sur quelqu'un d'autre vos erreurs. Ca rends souvent la personne bien plus attentive qu'un installateur. 85 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Les verre sont montés. Ouf! COMMENTAIRE CENTRE REGIONAL. En regardant bien, on peut voir le joint silicone sur la languette dont il a été parlé précédemment, et le joint par dessus. 90 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. La ferblanterie est finie COMMENTAIRE CENTRE REGIONAL. Et on voit qu'il s'agit d'une ferblanterie de type montagne. Cela n'aurait pas été nécessaire car nous sommes à Satigny, donc en plaine, ou les chutes importantes de neige sont rares. Une ferblanterie de type vélux avec couloirs aurait suffi. Mais certains ferblantiers préfèrent la ferblanterie de type montagne. 95 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Aspect final des capteurs sur le toit. COMMENTAIRE CENTRE REGIONAL. On peut voir que le ferblantier a suivi le chanfrein en bas et qu'on a donc une vraie goutte tombante. Cela veut dire que soit c'était un bon, soit l'autoconstructrice a été vigilante. L'un dans l'autre, du bon boulot. 100 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. La ferblanterie COMMENTAIRE CENTRE REGIONAL. Ici il y a des couloirs. On se retrouve donc avec une ferblanterie de type montagne AVEC des couloirs. Le grand luxe. 105 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Depuis la rue on ne voit pas grande chose 110 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. En attente pour la suite 115 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. L'entrée des lignes à travers du toit 120 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Le passage des lignes 125 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Dito 130 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Dito 135 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Dito 140 |
| Dito 145 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Dito 150 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Bientôt la mise en service 155 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Dérivation des lignes sanitaires COMMENTAIRE CENTRE REGIONAL. En vue de mettre le mitigeur. L'arrivée chaude est en haut, comme elle descend, ca fait naturellement siphon. 160 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Dito 165 |
| COMMENTAIRE AUTOCONTRUCTEUR. Bientôt la mise en service COMMENTAIRE CENTRE REGIONAL. La personne qu'on voit de dos est Sergio Mazzone (on l'a reconnu). Sergio est trop bonne pâte : souvent il aide les autoconstructeurs a faire la mise en service, quand ce devrait être au pire l'affaire d'un apprenti niveau apprenti+ ou contremaitre. Ca lui est possible car il n'y a pas beaucoup d'autoconstructions sur Genève. Avec les 40 autoconstruction en cours sur Vaud ou sur Valais, on serait tous dans une caisse en sapin si on devait se déplacer pour aller aider les autoconstructeurs à mettre en service. Outre le fait que cela prive un apprenti de possibilités de formation, ce n'est aussi pas un service à rendre à l'autoconstructeur : comme il n'apprends pas à mettre en service lui-même, il sera toujours dépendant de la compétence des autres pour ce faire. Cela va donc contre les objectifs à long terme de Sebasol 170 |
| Production 2009 depuis mai 200 |
| Production 2010 201 |
| Production 2011 202 |
| Production 2012 203 |
| Production 2013 204 |
| Production 2014 205 |
| Production 2015 206 |
| Production 2016 207 |
| Production 2017 208 |
| Production 2018 jusqu'en mai
Total 2009 à 2018 77294 kWh équivalent à 7730 L de mazout Moyenne 2009 à 2018 soit 9 ans 7730 kWh/an en moyenne soit 572 kWh/m2 an
Ceci est la production au compteur de chaleur solaire. Elle ne prend pas en compte la production indirecte sous forme de mise off de la chaudière à mazout, qui peut être très importante dans le cas d'anciennes chaudières. Le cas Dethiolaz http://www.sebasol.info/realisations.aspx?id=402&r= montre que cela peut se monter à 90l/mois. Avec 50L mois et une coupure de chaudière de mi-avril à fin septembre soit 5.5 mois selon l'autoconstructrice, cela fait en gros 2500-2750kWh supplémentaires, soit donc en tout 10'230-10'480 kWh sur l'année, ce qui correspond bien aux 1000L de mazout/an qu'elle voit comme économie annuelle moyenne. 209 |