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Galliker (1565 Missy) 13.5m2 ECS & appoint chauffage dans bâtiment Minergie-P, construction à neuf



Une installation qui va faire partie des exemplaires d'ici peu. Elle est en effet la prochaine génération en matière d'efficacité énergétique sebasolienne, et elle ne va pas coûter plus cher aux autoconstructeurs, ce qui veut dire que comme toutes les autres elle va overkiller. Pour l'instant elle atteint déjà un COPa de l'ordre de 150 sur le circulateur. Ca veut dire qu'elle produit 150x plus de chaleur que l'électricité que consomme son circulateur dans l'année. A côté de ça, des représentants en radiateurs électriques améliorés qui s'appellent pompes à chaleur (pour PAC) s'enorgueillissent de COPa de 4.



Galerie

Commentaire autoconstructeur : La maison en chantier, nous sommes en été 2011. Chronologiquement cette photo n'est pas au bon endroit, car nous avions d'abord fait les absorbeurs durant l'automne 2010 (Temps de travail de 40H), puis les caissons vides prêts à poser au printemps 2011, (T= env. 30-40H), puis les lignes solaires en façade. Comme nous avons fait aussi d'autres postes sur le bâtiment : électricité, peintures, parquets, nettoyages,... pour un total de 1040H, tout en travaillant à plein temps et que parfois certaines choses doivent être menées de front, nous recommandons vivement d'anticiper tout ce qui peut l'être sur l'installation solaire.
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Commentaires centre régional : le passage des lignes dans l'isolation nécessite de prévoir les entrées sorties bien à l'avance. Ici les lignes sont quand-même isolées pour éviter de surchauffer l'isolation en cas de stagnation estivale des capteurs (quand l'accumulateur est à 95°C tout s'arrête). Cela dépend évidemment du type d'isolation mais on ne peut pas prendre le risque. Les lignes auraient pu être isolées en épaisseur réduite vu qu'il y aurait l'isolation périphérique autour, mais il ne faut pas oublier que dans la construction actuelle, l'impératif démentiel de gagner du temps fait que les corps de métier bâclent tout. On peut de ce fait potentiellement avoir des gros vides autour des lignes si les ouvriers ne veulent pas se donner la peine de bien découper l'isolation périphérique autour. De toute façon, une fois que le bardage est mis, on voit plus rien...L'architecte donc c'est le boulot de superviser ce genre de chose est bien souvent soit pas là au moment ça se passe, soit n'a pas la bouteille nécessaire pour pointer ce genre de détail. De fait, si on isole généreusement les lignes, au moins on se prémunit mieux contre ce genre de problèmes potentiels. Au vu du surcoût faible pour une isolation un peu plus épaisse pour les lignes, ce n'est pas nécessairement du gaspillage.
Commentaire autoconstructeur : Les lignes passent dans la ventilation de façade, un espace qui est de toute manière vide qui permet de couper l'apport thermique du bardage bois. ça se fait quasi toujours en toiture, mais rarement en façade. Le grillage permet a l'air froid de passer pour se réchauffer derrière le bardage et ressort en haut de la façade par convection naturelle. Autre rectification au sujet de l'isolation qui n'est pas à base de pétrole. Il s'agit d'isofloc à base de papier recyclé, dont 42cm se trouvent derrière le panneau duripanel. On voit d'ailleurs les capuchons de fermeture (losanges) des caissons par lesquels l'isolation a été insufflée.
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Commentaire autoconstructeur : une vue sur la montée des lignes. La ligne froide est à gauche, passe et ressort du premier champ pour aller dans le deuxième et redescendre par la ligne de droite et les deux champs sont en série. Le câble de sonde passe à l'intérieur et n'est donc pas visible sur ces images.
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Commentaires centre régional : ensuite on met l'isolation périphérique. Ic i au vu de la couleur, cela semble être du polystyrène à graphite, donc cela morflerait méchamment au contact d'une ligne solaire bouillante non isolée- Commentaire autoconstructeur : Autre vue de la maison, une fois le bardage posé. Pas de périphérique ou autre polystyrène. Voir 2 photos plus haut.
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Commentaires centre régional : voilà à quoi cela ressemble une fois fini.
Commentaire autoconstructeur : nous avions posé des panneaux d'avertissements sur les lignes, car sur les échafaudages, il était facile de s'y encoubler et le cuivre recuit prend vite des mauvais plis ! Chose importante sur cette photo, on voit (surtout en bas) les 5x2 fixations en façade du champ solaire qui y sera monté. Ces pièces ont été posées avec beaucoup de précision, car il y a très peu de jeu avec la contre-pièce qui était montée sur les champs eux-mêmes. Comme on l'a vu plus haut, notre façade ventilée est vide derrière le bardage. Il a donc fallu faire poser des carrelets de renfort au charpentier aux bons endroits, afin de ne pas visser dans le vide. Ces éléments étaient très importants à anticiper, car une fois posée, la façade ne se démonte plus. (ou pas sans un gros surcoût).
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Commentaire autoconstructeur : Ici, on "spanset" le champ du haut pour le monter avec un téléporter loué au village. Dans le fond du champ, on peut voir les plaques d'alu que nous avons mises pour rapondre les panneaux d'OSB. Cela était nécessaire pour assurer la solidité et la rigidité de l'ensemble, car ceux-ci ne tombaient pas sur des carrelets. A moins qu'il y ait eu des modifications entre-temps, cela ne figurait pas sur la documentation technique d'alors et ce fut une petite surprise qu'on a dû solutionner. Pas de problème en construction intégrée en toiture, car tout repose sur le contre-lattage à de nombreux endroits. On voit aussi les trous prévus d'arrivée des tubes. Après installation, ceux-ci se révèleront pas au bon endroit, mais l'idée y était et c'est déjà pas mal... :-)
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Commentaire autoconstructeur : On remet l'axe qui permet de rassembler les deux parties des pièces de fixation (voir 3 photos plus haut). L'alignement est parfait entre le mur, le champ et leurs 10 points de fixation. Nous avons investi beaucoup de temps pour placer précisément les pièces auparavant. Et ça paie! Au moment d'assembler, tout est au millimètre et on pose le champ du premier coup presque sans un coup de marteau, c'est un soulagement. La pose aura duré à peine une heure.
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Commentaires centre régional : l'image montre ici que le champ solaire a été monté au bras... Commentaire autoconstructeur : Nous n'avons pas compris le commentaire du CR, car le champ est tenu par un tracteur comme on le voit sur la photo. Ce champ nous a posé plus de problèmes à la pose à cause des trous des lignes solaires mal calculés et cela faisait un effort sur le champ.
Commentaire centre régional : au bras pour dire au bras de grue.
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Commentaires centre régional : ... ce qui veut dire que l'échafaudage a disparu, et donc que cela oblige à travailler "à l'envers la tête en bas" par-dessus ou par le côté. Pour certaines tâches cela ne pose pas de problèmes, mais pour d'autres cela confine à l'impossible et il a probablement fallu travailler à l'échelle depuis le bas, ce qui est fastidieux car presque sans arrêt une main est neutralisée pour assurer son équilibre, et la portée de l'autre est très limitée et donc il faut sans arrêt monter-descendre de l'échelle pour la déplacer. D'autres commentaires sur cet aspect plus loin.
Commentaire autoconstructeur : On ne pouvait pas monter les champs avant, précisément à cause des échafaudages. C'était donc la seule solution et cela a duré à peine une heure. Pour nous, c'est plutôt une réussite.
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Commentaires centre régional : ici au sol c'est que du bonheur, mais pour le champ en-dessus cela a du être moins facile.
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Commentaire autoconstructeur : Fin de journée, soleil couchant, grillades offertes aux "bras aidants", bref une journée plaisir où on a vu ce qu'on a fait.
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Commentaire autoconstructeur : Préparation de l'absorbeur du haut. Pose de la sonde de température. On voit que les tubes de l'absorbeurs repartent contre l'intérieur à cause de la parallélisation interne.
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Commentaires centre régional : le fait de poser les capteurs en façade demande de bien prévoir d'avance les connexions. Il y a plusieurs manières. Ici les connexions ont été faites avant que 'isolation soit posée, ce qui demande beaucoup de soin et de précision. De manière générale, les autoconstructeurs posent les capteurs, puis l'isolation, puis la distribution en creusant l'isolation, et en passant les tubes à travers pour arriver derrière, et enfin ils posent et connectent les absorbeurs. C'est plus simple et demande beaucoup moins de travail, mais il faut bénéficier 'une nacelle ou d'un petit échafaudage devant. Ici avec les images précédentes qui montrent la pose des capteurs au bras, il apparait que tout cela avait disparu lors de la pose des capteurs, ce qui fait qu'il a du être beaucoup moins pratique de travailler. Il est donc important de bien concevoir sa logistique : à priori, l'échafaudage est nécessaire pour la pose de l'isolation périphérique ou du bardage de la façade ventilée. Il faut donc intervenir juste après pour poser les capteurs, quitte à trouver un autre moyen que le bras (bloqué alors par les échafaudages) pour le hisser entre l'échafaudage et la paroi (treuil fixé aux chevrons par exemple). Ou bien se munir d'une petite nacelle ou d'une petite tour sur roulettes (avec ces dalles grises temporaires au sol).
Commentaire autoconstructeur : Nous avons creusé l'isolation, puis posé les tubes dedans la plupart du temps, mais au début, il nous était possible de faire autrement et nous en avons profité. La parallélisation interne impose des soudures sous les absorbeurs, mais sur l'isolation. Afin de ne pas tout brûler, nous la protégions avec des chutes de carrelage, mais ce n'était pas toujours évident.
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Commentaire autoconstructeur : Cette photo est trompeuse, car nous avions un échafaudage mobile (sur roulettes) pour la pose des absorbeurs dans le caisson du haut. Cela devait être pour un simple contrôle. A noter que le champ du bas était déjà terminé et protégé du soleil par des bâches.
Commentaires du centre régional : de fait donc, effectivement, avec un échafaudage à roulettes, on a un échafaudage et donc les inconvénients de devoir travailler à l'échelle tombent.
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Commentaire autoconstructeur : Détail sur l'entrée dans le champ du haut.
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Commentaire autoconstructeur : Détail sur l'entrée dans le champ du haut, la purge est posée sur la ligne chaude et ressort juste à côté de la fenêtre, ce qui rend sa manipulation très facile depuis l'étage. Le tube fait près d'un mètre non-isolé, on est largement dans les prescriptions sebasoliennes.
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Commentaire autoconstructeur : de haut en bas: - La fixation haute en inox - Le tube de la purge, cintré en fonction de l'inclinaison du champ à 70° - La ligne chaude avec le fil de sonde et une boite de raccordement - La fixation basse en acier, car à l'abri de l'humidité. - La ligne froide (de ce champ) provenant du champ du bas.
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Commentaire autoconstructeur : travail terminé avec ferblanterie, profil alu, supports et dessous du champ peint en noir.
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Commentaire autoconstructeur : idem
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Commentaires centre régional : ici on voit lors du PV, que la ferblanterie de finition (liste B) a été omise. Il y a donc un petit espace non couvert par lequel l'eau peut s'inflitrer. La liste B a été mise par la suite.
Commentaire autoconstructeur : A noter que dans les améliorations par rapport à un capteur "standard" Sebasol, nous avons 8cm de laine de pierre au fond et 4cm d'XPS sur le tour extérieur des champs (posés par le ferblantier, je mettrai une photo de détail). Ceci a l'avantage d'un meilleur rendement en hiver, car moins de pertes, avec l'inconvénient de stagnations dépassant les 180°C en été. Depuis que nous couvrons le champ du bas l'été et faisons de la décharge nocturne, il n'y a plus de stagnations, donc il n'y a que des avantages... Hormis le surplus de temps de travail au montage...
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Commentaires centre régional : idem précédent.
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Commentaires centre régional : ici on voit que le pilier du haut est très court, ce qui permet de diminuer au maximum les forces sur le porte-à-faux. Il faut de ce fait accrocher très haut sur la poutre de soutien. Cela demande de bien calculer la tôle de derrière pour qu'elle ne touche pas la paroi (cf plus loin)
Commentaire autoconstructeur : On voit bien l'isolation EPS en bleu clair de 4cm entre la fin du caisson en noir et la ferblanterie inox.
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Commentaire autoconstructeur : Autre détail du champ du bas avec une sonde de température pour l'instant non-utilisée. Idée: comparer la production du champ du bas à celle du haut.
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Commentaires centre régional : la peinture en noir du fond OSB n'est pas nécessaire. L'autoconstructeur l'a fait pour des raisons esthétiques. Le repli de la tôle contre l'OSB au lieu de la laisser sous forme de goutte tombante, n'est pas nécessaire non plus. A nouveau, cela a été fait pour des motifs esthétiques et pour que le capteur ressemble aux capteurs-boite métalliques du commerce (cette installation est beaucoup visitée). Le système de tôles en chevauchement de Sebasol, avec ses gouttes tombantes, est parfaitement fonctionnel, demande moins de travail, et coûte moins cher en matériaux et donc en énergie grise (tôle de 0.5mm), comme en coût absolu : actuellement, nous en sommes à 8.- le ml de ferblanterie posée, cette option n'était néanmoins pas encore disponible pour l'autoconstructeur au moment de sa construction, ce qui fait qu'il a confié le pliage des tôles à un ferblantier, il n'est cependant pas dit qu'il aurait accepté l'aspect esthétique de notre système de recouvrements. Au vu de la pente du champ le risque est faible, mais par pluie battante latérale on pourrait avoir un peu d'infiltration entre la tôle et le bois.
Commentaire autoconstructeur : Probablement pas en effet et avec l'ajout d'EPS, cela n'aurait peut-être pas fonctionné. Notre ferblantier a fait du super travail et le résultat ici le prouve.
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Commentaires centre régional : on voit ici que pour ne pas toucher la paroi, la ferblanterie de derrière a été dotée d'un angle.
Commentaire autoconstructeur : Autres détails de ferblanterie très bien réalisée entre cette photo et les suivantes.
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Commentaire autoconstructeur : Les descentes de chenaux sont aussi en uginox. Avec la façade grise, le choix de la ferblanterie a été vite fait.
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Commentaire autoconstructeur : Beaucoup de changements dans le local technique depuis cette photo où on avait des infiltrations d'eau à un moment du chantier sur la nourrice d'eau potable. Cette photo a été prise lors de tests de circulateurs avec le CR pour obtenir le meilleur COP vs pic de courant à l'enclenchement. Après ~10 circulateurs montés, mesurés et démontés, c'est celui qui équipe dorénavant vos installations qui a remporté la pHalm. Un long travail de mesure et de récupération de glycol qui a permi pour la première fois de dépasser un COP de 100 sur une installation Sebasol. Voir rubrique "Revue de presse" du 05.05.2012. Ce calcul basé en partie sur de la simulation, se trouve dépassé en réel, nous sommes maintenant probablement très proches d'un COP de 200. il faudrait recalculer. Sur l'accu, la vanne 3-voies solaire en bleu et juste à sa droite, la vanne 4-voies utilisant la sortie VL2 et un circulateur économique pour la distribution de chaleur.
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Commentaire autoconstructeur : A gauche: le groupe du poêle hydraulique et sa régulation intégrée. Au centre: La régulation solaire et le vase d'expansion solaire au dessus. A droite: le groupe solaire, ici avec un circulateur à débit variable par PWM qui n'a pas été retenu. Encore plus à droite: Le bidon de surplus, un peu sous-dimensionné. C'est un point orange du PV de mise en service, mais plus de 2 ans après son installation, il n'a pas débordé. On voit bien les connexions qui partent vers le bas, y compris sur l'entrée du poêle, comme sur la distribution (on ne voit que la vanne tout à droite).
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Commentaire autoconstructeur : Résultat final de l'installation, mais les aménagements extérieurs ont bien changé depuis...
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