Les conditions de montagne sont souvent plus contraignantes, que ce soit pour le solaire thermique ou le photovoltaïque. En particulier, il peut se former au bas des champs solaires des amoncellements de neige, surtout s'ils sont é faible pente. Ce qui arrive de plus en plus pour le photovoltaïque parce que les choix architecturaux est de faire des faibles pentes pour maximiser la surface habitable dessous. Ces toits sont la plupart du temps E/O, ce qui fait qu'ils produisent des électrons inutiles l'été alors qu'il sont sous la neige l'hiver, mais les concessionnaires électriques peuvent spéculer avec, y compris via des âneries scientifiques comme le "stockage virtuel".
Le thermique s'en tire mieux car il ne peut se reporter sur le reste du monde ou des gogos et donc a l'obligation d'être efficace. Ce qui fait que dans ces cas là il est mis en façade, en balcons, ou dans le terrain.
Mais il arrive qu'on ait pas le choix. Cela a été le cas à Ovronnaz, ou il a du être mis au S mais sur un toit en plutôt faible pente. La neige qui alors s'accukmule peut fondre un peu la journée pour regeler la nuit, et devenir de la glace. Assurer l'élimination de la neige au fur et à mesure demande de connaitre certains trucs qui ne viennent qu'avec une longue expérience. De même aussi ce qu'il faut faire pour renforcer structurellement les champs solaires pour qu'ils tiennent parfois plusieurs tonnes en traction, à mesure qu'en dégelant-gelant la neige forme des surplombs au bord des toits, bien connus des habitants de La Chaux-de-Fonds...
On a appris. Maintenant on en sait bien d'avantage. Et donc on peut mieux fixer ces problèmes. Ici Michel Carron/Rhyner énergie Sarl l'a fait sur cette intervention, qui est revenue à moins de 400.- le m2, matériel et travail.
Pour toutes les autres info sur cette magnifique installation, se reporter à la première entrée sur le site web pour elle soit "Centre sportif cantonal d'Ovronnaz" ou autrement dit ce lien http://www.sebasol.info/realisations.aspx?id=730&r=
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