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| Champ de 3 par 3 capteurs, appuyé à la maison à 60°, pente idéale pour une récolte maximale en hiver, et presque plein sud, à 192°.
La maison a une SRE de 116m2 et 3 personnes y vivent
5 | | Même installation, mais pris d'un autre angle et par soleil.
La famille consomme environ 1'250l de mazout par an, inclus les quelques bûches dans son poêle suédois
7 | | Détail des fondations du bas et de la ferblanterie fournie par Sebasol
10 | | Détail de la connexion du champ à la façade de la maison
15 | | La tuyauterie autour du Jenni est en grande partie faite en pièces noires, standardisé, plus aisé à prémonter et à installer, ne demandant pas une longue réflexion comment parvenir le plus aisément à monter une installation compacte. Le cuivre n’est utilisé que là où les raccords sont difficiles à réaliser en noir avec des mamelons de longueur standard, sans devoir utiliser les outils, disponibles à Tatroz, de coupe et taraudage. La tuyauterie, donc les pertes de chaleur et de charge, sont minimisées. La coupe, le cintrage, ébavurage, calibrage et brasage sont minimisés. En contrepartie, il y a plus de chanfrage à exécuter. Utiliser du noir au lieu du cuivre réduit d’autant l’empreinte digitale et est plus écologique.
Afin de réduire le cablage électrique, la Sora est montée sur un support qui relie et rigidifie la tuyauterie autour du Jenni.
A droite les 2 VE (vases d’expansion) pour le circuit solaire thermique en haut,de 60l, et celui du chauffage/accumulateur, de 150l.
Le lignes du champ solaire et ceux de la chaudière (non encore isolées), actuellement utilisant du mazout, sont exécutés en noir, exigeant un supplément de travail, mais plus écolo.
La chaudière va prochainement être remplacée par une à granulés/pellets, une fois le silo à mazout vide.
Pour améliorer la précision des thermomètres, ceux-ci ont été placés dans des doigts de gants placés dans des Tés, au lieu d’utiliser des thermomètres à applique
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