| Une expériencee intéressante pour les sceptique : le fait que les capteurs solaires thermiques chauffent et dégagent la neige qui est dessus, au contraire des panneaux PVs. Ici on arrive au matin, il a neigé dans la nuit, et les capteurs sont couverts 5 |
| On prend notre courage à deux mains, on met une échelle 7 |
| C_est cela qu'on voit là-haut 8 |
| On commence à dégager comme on peut 10 |
| C'est pénible, ca va pas vite, tout est gelé 15 |
| comme on peut le voir ici 20 |
| ou là 25 |
| ou là 30 |
| Ensuite on a fait le tour de la technique (mages suivantes) et ne voilà pas qu_on entend un 'Brouf' dehors. On sort, le soleil (timide) est apparu et tout le champ solaire à dégagé d'un coup 35 |
| Tout est visible. On s'est crevé 1/2h pour rien une heure avant. Il fallait juste faire confiance au solaire thermique et attendre. La seule chose qu'on ait faite pour aider est peut-être d'avoir dégagé la base du champ solaire. Mais ce qui a aidé aussi c'est que le champ solaire a été placé en bas du toit à raz la cheneau, ce qui fait que dès que cela a commencé à glisser la traction - pourtant faible car sinon il ne pourrait y avoir d'avalanches - de la neige à tout tiré en bas. Cela a été possible du fait que le capteurs chauffant dessous, un film d'eau s'est formé entre la neige et verre, qui a accéléré le glissement. Cela ne se passerait pas avec un panneau PV qui resterait froid. Et voilà. 40 |
| 250 |
| 255 |
| 260 |
| 265 |
| 270 |
| 275 |
| 280 |
| 285 |
| 290 |
| 295 |
| 350 |
| 355 |
| 360 |
| 365 |
| 370 |
| 375 |
| 380 |
| 385 |
| 390 |
| 392 |
| 393 |
| 394 |
| 395 |
| 400 |
| 405 |
| 410 |
| 415 |
| 420 |