Type: Installation solaire ECS avec brassage sur l'accumulateur ECS de la chaudière combinée mazout.
Accumulateur: Austria Email 500 litres à deux registres. Isolation 7cm mousse, manteau PVC 2 Echangeur de chaleur 1" de 1.2 m2 et 2.2 m2. Ouverture pour appoint électrique non utilisée. Echangeur du haut non utilisé. Anode de protection magnésium contre la corrosion. Agréé SSIGE garanti 5 ans.
Régulation/cpt de chaleur: TEM SZ avec compteur de chaleur incorporé Débitmètre à impulsion WEM15 RE1 + doigts de gants et sondes
Circulateur: PAW 25-60.
Vase d'expansion: Reflex type N, 80 litres.
Capteurs: K6 Sélectif, test de qualité SPF172, 9 m2 Intégration en toiture, ferblanterie périphérique cuivre.
Circuit solaire: Cuivre DN18 Lignes passée en extérieur dans gouttière inox pour intégration architecturale. Surcoût inclus dans le prix final. Antigel Motorex Glythermin GP42. Proportion 35% pour –18°C Isolation coquilles Vetroflex alu 30mm
Circuit ECS: Mitigeur thermostatique.
Production: Simulée Polysun : 4'450 kWh/an. Mesurée : mesures en cours.
Coût hors subventions: En valeur brute : 13'100.- TVA et RPLP compris. En valeur d'usage, avec partage du coût de l'accumulateur également utilisé par le mazout : 12'250.-
Coût après subventions: 8'550.- en valeur d'usage.
Coût du kWh utile: Durée de vie 20 ans, simulé : 9.6 centimes.
Si l'on veut comparer ce coût avec le coût du kWh utile produit par une installation à énergie fossile, il importe de prendre en compte le coût du combustible fossile plus celui de l'installation plus celui des charges annuelles (raccordement, entretient, ramonage etc.) et de savoir en outre que, de manière générale, la durée de vie d'un système fossile actuel est de l'ordre de 15 ans, et non 20 ans ou d'avantage pour un système solaire. |  |  |  |
| Vue du bâtiment. 0 | | Vue du champ magnifiquement intégré sur ce toit plutôt pentu. 0 | | Détail 0 | | Détail 0 | | Détail 0 | | Détail 0 | | Vue en cave. Accumulateur à gauche. Ensuite groupe hydraulique solaire. Puis pompe de brassage. Enfin régulation (ouverte). Le dérouleur électrique est posé sur le vase d'expansion, au sol. 0 | | Vue de l'intégration des capteurs 0 | | Les deux tubes inox qui descendent cachent les lignes solaires. Pas laid, n'est-ce pas ? 0 | | Vue du groupe hydraulique, du groupe de brassage et de la régulation. Très beau travail de Pascal Petitpierre, Begnins. Les lignes ne sont pas encore isolées. La chaudière est à droite. Son accumulateur combiné est brassé avec l'accumulateur solaire de 500l à gauche. Petite anecdote amusante ; entre mi-janvier et mi-février, le chauffage de l'eau chaude sanitaire par la chaudière n'a pas fonctionné (air dans le circuit). Les deux habitants ne se sont aperçus de rien !!! Leur eau chaude sanitaire a été d'origine exclusivement solaire. Avec les 6-7 personnes prévues à terme, il n'en aurait probablement pas été ainsi vu les besoins plus importants, mais quelle victoire sur tous les racontars qui disent que "de toute façon ma p'tite dame, que le solaire fonctionne ou non, grâce au mazout on ne s'aperçoit de rien. 0 | | Ligne de dissipation qui aboutit au vase d'expansion 0 | | Branchement de l'accumulateur solaire. Remarquez les deux siphons vers le bas en entrée/sortie d'échangeur, pratique typique de sanitaire solaire, qui évite que l'acculateur ne se vide par thermosiphon inverse pendant la nuit. Les énergies renouvelables sont contraintes par nature à l'efficacité énergétique. 0 |
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