| Repérage lors de l'été 2002. Le toit est encore vide de capteurs. 20 |
| Fin 2003, alors que les capteurs sont sur le toit. 30 |
| Vue rapprochée 40 |
| Et vu hivernale. On remarque que, comme bien souvent, la neige ne reste pas sur les capteurs. 50 |
| Vue du paysage depuis le toit. 60 |
| Retour en arrière. Voici le chauffe-eau. Un Jenni de 3120L avec échangeur en bas, pour la chaudière à buches, l'autoconstructeur étant forestier. 70 |
| Qu'on fait pénétrer dans le local avec le tracteur. 80 |
| C'était plutôt bien calculé. Entendez : ca entrait juste. Mais comme prévu, ca est entré.
Une anecdote avec ce Jenni. Avant de faire appel à Sebasol, M. Sonnay s'était fait faire un devis bois + solaires par une entreprise. Etaient proposés 2 accumulateurs tampons de chauffage de 1000L en parallèle pour le bois, un chauffe-eau séparé de 600L pour le solaire, et 6m2 de solaire dessus. Le "délire tournesol" des tuyaux pour brancher tout cela, la place en cave que ça prenait, les pertes supplémentaires etc. nous a fait dresser les cheveux sur la tête. Nous avons remplacer toute cette tournesolerie incompétente par un seul accumulateur combiné de 3120L avec un chauffe-eau ECS interne inox en bain-marie, et dessus 22.5m2 de capteurs. Plus de volume, moins de pertes, moins de place, plus efficace et moins cher. Avant même de poser le premier capteur, M. Sonnay avait déjà économisé une somme à 4 zéros avec le devis précédent.
Comment cela est-il possible ? Parce que les gens sont conditionnés à voir le prix et pensent qu'une installation solaire s'achète comme un kilo de pain au supermarché. Parce qu'ils sont mal informés. Parce qu'ils sont paresseux et qu'ils ne veulent pas se donner la peine d'apprendre à lire un devis, ceci malgré le fait qu'on leur fournisse des cahiers des charges comparatifs écrits noir sur blanc comme sur http://www.sebasol.info/public/cahier.pdf. Parce qu'en bon Lefunestes ils sont prêts à payer le double pour peu qu'ils puissent montrer à leur voisin Talon qu'ils font mieux que lui. Les entreprises peuvent de ce fait faire passer à peu près n'importe quoi en matière de concepts techniques. Ce genre de choses, nous le voyons presque tous les jours à Sebasol. Souvent, c'est trop tard pour intervenir : les devis sont signés. 90 |
| Fabrication des éléments du cadre, par les fistons de l'autoconstructeur. 100 |
| Cadre fabriqué complet. 110 |
| Pose des absorbeurs. On remarque (infinie répétition) que les vitres sont trempées et que de ce fait on peut marcher dessus. 120 |
| Joyeux montage des vitres. 130 |
| Sortie des lignes. En haut ou en bas ? En bas, car le profilé alu sort. 140 |
| Entrée dans la toiture, étanchéité de toiture assurée. 150 |
| Champ terminé 160 |
| Comme souvent. La belle ouvrage en matière de ferblanterie mérite d'être montrée. 170 |
| Détail. La tuile est de la petite vaudoise. 180 |
| Ferblanterie de devant. 190 |
| Détail. Le profilé sort de la ferblanterie pour mener l'eau sur et non dans la toiture. 200 |
| Belle vue à la lumière du soir. 210 |
| Dans les combles. On voit la purge et le vase d'expansion. Les lignes ne sont pas encore isolées. On remarque que l'isolation est au moins en 25mm, et non en 13mm krakra. 220 |
| Sortie de la toiture 230 |
| Plus bas, au sec, on peut abandonner l'Armaflex HT plus cher pour les coquilles Vetroflex, plus faciles à poser, plus épaisses et meilleur marché. On remarque les ligarex qui assurent que la languette de fermeture ne va pas décoller. 240 |
| Descente 250 |
| Lignes dans les combles, à présent isolées. 260 |
| Dito. Petit défaut : la ligne vers le vase d'expansion est courte. Il y a le siphon par contre. Et le diamètre en DN22 fait qu'elle contient plus d'eau que les lignes habituelles en 15. Ca aide un peu en cas de surchauffe brutale. 270 |
| Vision des lignes dans les combles. 280 |
| Dito 290 |
| Simalen pour le passage du cable. Avec la boite de connexion entre le cable et le cable de sonde. 300 |
| Dito le cable va vers les capteurs 310 |
| A présent, la grande originalité (supplémentaire!) de ce projet. Question : quoi faire de la surproduction d'été ? Réponse : et si on séchait notre bois ? Logique, pour un forestier. 320 |
| Vue du bucher avant toute intervention. 330 |
| Des canplast on été placés de manière à mener de l'air sous le bois. 340 |
| Placement des claies qui tiendront les radiateurs. 350 |
| Pose des radiateurs. Dépareillés car achetés au prix du kilo à la récupération. 360 |
| Vue de la distribution des radiateurs. Distribution aller-retour centrale/tichelmannisée pour assurer autant que possible un débit semblable dans tous les radiateurs. 370 |
| Vue du départ vers les radiateurs, avec la vanne 3voies. Celle-ci est commandée par un thermostat sur le Jenni. Si ce dernier est assez chaud, l'eau solaire est dirigées vers les radiateurs avant de revenir plus froide et de retourner vers le champ solaire. L'énergie est ainsi dissipée dans le bûcher et le Jenni cesse de monter en température. Le champ solaire peut continuer ainsi à produire sans que tout s'arrête parce que le Jenni a atteint 90°C. En d'autres mots : un radiateur de surchauffe. Mais un radiateur de surchauffe utile. 380 |
| Vue du bûcher avec les claies par dessus, qui laisseront passer l'eau chaude qui montera sécher les bûches. 390 |
| Vision plus large. Nous avons conseillé à M. Sonnay de revenir, non pas sur la ligne froide, mais sur la ligne chaude et de passer par le Jenni quand même, de manière à ce que le système soit moins réactif, le Jenni faisant tampon avant que l'eau ne remonte au champ. Dans le cas d'un retour direct, si il n'y a pas assez de dissipation dans le bûcher, le système a plus tendance à monter en température et on peut partir en surchauffe quand même. 400 |